Javascript is disable - https://www.supportduweb.com/ - Générateur de ribbons(Bandeaux) web 2.0

  accueil siteaccueil siteaccueil siteBonne annee 2025K2000Hommage Claude Barzottiaccueil siteCD bestof Claude Barzotti  accueil site  

 CLAUDE BARZOTTI   23 juillet 1953   -   24 juin 2023   

Rikounet83

Music Blog de Rikounet 83

DHbe du 29 juin 2021 "Le choc Belgique Italie" Euro 2020

Le 08/07/2021

Claude Barzotti est pour celui qui gagne car son coeur est comme beaucoup d'Italo-Belges, déchiré...

Dhbe 29 juin 2021 p1 miniDhbe 29 juin 2021 p3 mini

Claude Barzotti: "Je risque de devoir chanter"Je suis diable et je le reste"...

"Ce match ne me fait pas tant plaisir que ça car je suis Rital et je le reste jusque dans la peau. Le sang qui coule dans mes veines est italien", nous confie le célèbre interprète de "Je suis Rital et je le reste".

Mais je vis en Belgique et la Belgique m'a apporté beaucoup plus que l'Italie".

Son coeur, comme beaucoup d'Italo-Belges, balance donc pas mal. Même si Claude Barzotti a tout de même une préférence.

"Sincèrement, je suis pour celui qui gagne! J'aime l'Italie et j'adore la Belgique car ils sont très forts. L'Italie n'a pas perdu de matchs depuis longtemps. C'est un peu comme un chanteur... Même si on ne l'aime pas mais qu'il vend des disques, c'estqu'il est bon! Mais pour moi, les Belges sont plus forts. J'espère que ça ira jusqu'aux tirs au but!"

Vendredi , l'artiste de 67 ans regardera le match à la maison. "J'ai une piscine dehors-dedans avec écran géant. Tout prévu avec des amis. Ca sera la fête, avec barbecue. Et il rique d'y avoir du monde !".

"Pour les Italiens, ce sont d'office eux qui vont gagner. Mais ça ne marche pas comme ça. On va donc se disputer, car ce sont des sanguins. Enfin, on ne va pas se taper dessus non plus mais se chamailler quoi ! (Rires). Avant de chanter éventuellement une chanson en l'honneur de notre équipe nationale ? "Ah oui, je risque de devoir chanter "Je suis Diable et je le reste" (Rires) !"

P-Y.P.

Euro

 

Euro 2020 : L'Italie s'offre la Belgique et file en demies !

2 juillet 2021 23:00

L'Italie continue son sans-faute en éliminant la Belgique (2-1) grâce à des buts de Barella et Insigne. Les Azzurri affronteront l'Espagne en demi-finale.

Parce qu'elles désignent la ligne d'arrivée, les finales restent toujours dans les annales, mais la qualité des tournois se mesure, aussi, à ces matchs qui éclairent leur chemin. Il s'en dégage une odeur de chaos si spéciale. On peut la humer en Ligue des Champions, souvent, mais aussi dans le foot de sélections. C'est rassurant. Ce Belgique-Italie en était un, pour une multitude de raisons : l'opposition de styles, la croisée des destinées, le casting. Dans ce combat haletant, prenant, c'est bien l'Italie qui a eu le dernier mot.

Deux styles pour un combat épique


Il n'y a pas eu de round d'observation. Ces deux cadors avaient leur propre mode opératoire. On a vite constaté que l'Italie allait être pro-active dans son jeu et ses initiatives, face à une équipe de Belgique plus attentiste et pragmatique qu'elle ne le laisse croire, et dont la menace était incarnée par ses talents individuels. Un doute subsistait sur les participations de ses deux leaders technique : Si Hazard manquait à l'appel,De Bruyne était là. Le maître à jouer de Manchester City est un drôle de phénomène. Même avec un corps balbutiant, tout ce qui sort de ses pieds est un danger. Il aura été le principal déclencheur d'une équipe cantonnée à sa volonté de contrer, d'abord sur une sublime frappe du gauche repoussée magistralement par la main ferme de Donnarumma (22e), puis sur une passe lumineuse pour Lukaku, qui a aussi buté sur le futur gardien du PSG (26e).

Cette Italie est épatante


Que l'on ne s'y trompe pas : au-delà de ses quelques fulgurances isolées, c'est bien l'Italie qui a fait la pluie et le beau temps. Avec ses ingrédients. Un cadre collectif clair, un jeu léché, une admirable ténacité. Quelle que soit l'issue de cet Euro, il faudra se souvenir que Roberto Mancini a fait des miracles en partant d'un champ de ruines. C'est très fort. Ce qu'elle a peut-être de plus plaisant, ce sont ses paradoxes : des dépassements de fonction dans un collectif où aucune tête ne dépasse, une menace aussi latente dans la largeur que dans la profondeur. Il y a quelque chose qui se rapproche d'un foot total dans son expression. Et pour ne rien gâcher, les Azzuri ne sont pas maladroits sur coup de pied arrêté.

C'est sur une phase de ce type que leur première opportunité est venue, engendrant un but refusé de Bonucci (13e). Une première alerte assez académique avant de passer aux notes artistiques. À la demi-heure de jeu, sur un coup-franc rapidement joué par Verratti, Barella s'est joué de deux gardes du corps dans un mouchoir de poche avant de déclencher très rapidement un tir croisé qui a laissé Courtois pantois (0-1, 31e). Moins d'un quart d'heure plus tard, Insigne a fait le break d'une merveille de frappe enroulée en pleine lucarne (0-2, 44e). La virtuosité d'un enchaînement technique à dix mille ou la soudaineté d'un coup de canon : faites votre choix.

La Belgique s'est révoltée, sans succès


Dès lors, un nouveau match a commencé pour les Belges. Plus question de jouer petit bras. La bande à Mancini ne pouvait plus se cacher. Le Rennais Doku, intenable sur les premiers mètres, leur a ôté une première épine du pied en obtenant juste avant la pause un penalty sur un coup de rein face à Di Lorenzo - peno que Lukaku a transformé sans trembler (1-2, 45e+2).

Surtout, la Belgique est revenue du vestiaire sur le même tempo, avec un bloc plus haut, comme l'Italie finalement, donnant encore une autre dimension à ce match fantastique. On a alors pu constater que l'Italie sait autant souffrir que briller. Leonardo Spinazzola en est le symbole. Le très offensif latéral de la Roma, si entreprenant devant, a réalisé un sauvetage exceptionnel sur une reprise à bout portant de Lukaku (61e), avant de frôler le 3-1 à l'autre bout du pré sur un contre express (65e). Spinazzola aura été au bout de ses efforts. Touché musculairement, il est sorti à dix minutes de la fin. Peut-être les dernières de son Euro. Comme un héros.

La Nazionale a perdu une force, mais c'est par le prisme du collectif, toujours, qu'elle devait résister aux derniers assauts belges. Elle y est parvenue tant bien que mal, vaille que vaille, en fermant les espaces avec un bloc plus reculé. Les Belges ont poussé, jusqu'au bout. Une conduite de balle dangereuse de De Bruyne par ci, un slalom et un missile de Doku par là (84e)... L'Italie a plié, mais l'Italie n'a pas craqué. Elle porte désormais sa série d’invincibilité à 32 matchs en domptant, pour la première fois, un poids lourd du foot mondial. Ça donne tout de même un tout autre cachet. L'Espagne, une autre montagne, se dressera sur sa route pour continuer à rêver...

Euro 2020 italy spain

Euro : l’Italie vient à bout de l’Espagne et se qualifie pour la finale

Au bout du suspense, la Squadra Azzurra a décroché son ticket pour la finale du tournoi en battant la Roja (1-1, 4-2 tab). Retour sur la rencontre et les buts.

L'Italie est éternelle. Mise à mal par une sélection espagnole ultra-dominatrice tout au long de la rencontre, la Squadra Azzurra s’est qualifiée pour la finale de l’Euro 2020 en battant la Roja aux tirs au but (1-1, 4-2 tab). Les Italiens avaient réussi à ouvrir le score à l’heure de jeu grâce à Federico Chiesa (60e), mais les Espagnols avaient égalisé à dix minutes de la fin du temps réglementaire grâce à Alvaro Morata (80e). Incapables de se départager en prolongation, les deux équipes se sont disputé la victoire aux tirs au but. Et à ce petit jeu, c’est l’Italie qui s’est finalement imposée, bien aidée par deux pénaltys espagnols non transformés. 

LE MATCH. L’Espagne piégée par l’Italie

Dans le majestueux décor de Wembley et devant 60 000 spectateurs, c’est l’Espagne qui donne le coup d’envoi de ce choc du dernier carré, après le coup de sifflet inaugural de l’arbitre allemand M. Felix Brych. Immédiatement, la Roja instaure un pressing haut. Mais la sélection de Luis Enrique est tellement portée vers l’offensive qu’elle se découvre et les Italiens en profitent, à l’instar de Nicolò Barella qui trouve le montant d’Unai Simón (4e). Première alerte.

Si l’Espagne monopolise le cuir dans les premières minutes (75 % de possession au quart d’heure de jeu) et se projette intelligemment vers l’avant, les joueurs ibériques butent sur une défense italienne bien organisée. Pourtant, la Roja va se procurer la plus grosse opportunité de ce début de match. Pedri trouve Mikel Oyarzabal au cœur de la défense italienne dans un espace très réduit. Si le timing est parfait, le contrôle de l’attaquant espagnol est manqué. Le ballon lui reste dans les pieds et permet à la Squadra Azzurra de se dégager (13e). Il était tout seul !

Certes, les Italiens ne voient pas beaucoup le cuir, mais ils se révèlent très dangereux quand ils l’ont. Sur un joli une-deux entre Emerson et Lorenzo Insigne, le latéral gauche de l’Italie file vers le but. Unai Simón sort alors de ses cages jusqu’au coin de sa surface pour intervenir. Sans succès. Emerson décale Ciro Immobile qui, gêné par deux défenseurs espagnols, ne peut tirer dans le but vide. Il sert Nicolò Barella qui se fait reprendre in extremis (21e). Gros coup de chaud dans la défense espagnole.

Dans les instants qui suivent, Dani Olmo va s’offrir la première frappe cadrée de ce match. Servi par Mikel Oyarzabal, l’attaquant espagnol enchaîne deux tirs consécutifs. Le premier, dévié par Leonardo Bonucci, le second, paré par Gianluigi Donnarumma (25e). Et à la demi-heure de jeu, la possession reste ibérique (70 %) tandis que les Italiens n’ont pas déclenché la moindre frappe.

Si en fin de première période, Mikel Oyarzabal s’essaye après un superbe mouvement collectif (40e), l’attaquant espagnol ne trouve pas le cadre. Et, sans parvenir à faire la différence dans cette rencontre, la Roja se fait de belles frayeurs. Servi sur une superbe transversale, Lorenzo Insigne percute côté gauche avant de donner au dernier moment le cuir à Emerson qui frappe dans l’angle. La frappe est légèrement touchée par Unai Simón et repoussée par la barre transversale (45e). L’Espagne était toute proche de la douche froide. À la pause, rien n’est joué (0-0).

Au retour des vestiaires, aucun changement n’est à signaler. Mais le rythme de cette demi-finale monte d’un cran en seconde période et les occasions se multiplient, à l’instar des frappes espagnoles de Sergio Busquets (52e) et Mikel Oyarzabal (58e) ou de la réponse italienne de Federico Chiesa (53e). Et contre le cours du jeu, c’est la Squadra Azzurra qui va prendre les devants contre une sélection espagnole dominatrice mais stérile. Sur une contre-attaque éclair initiée par Gianluigi Donnarumma, Federico Chiesa est à la finition à l’entrée de la surface espagnole. L’Italien dribble Éric Garcia avant d’ouvrir parfaitement son pied pour enrouler une frappe imparable (60e, 1-0). La Squadra Azzurra punit la Roja !

Dans la foulée de l’ouverture du score, deux changements sont opérés. Ciro Immobile cède sa place à Domenico Berardi côté italien (61e), tandis qu’Alvaro Morata remplace Ferran Torres côté espagnol (62e). Surprise par ce but encaissé, la Roja redouble d’efforts pour trouver le chemin des filets. Alors que Koke avait réussi une magnifique passe lobée par-dessus la défense transalpine, Mikel Oyarzabal se présente seul face à Gianluigi Donnarumma, mais ne peut reprendre le ballon de la tête (65e). C’était une balle d’égalisation. Pourtant, à force de s’exposer, l’Espagne se met en danger. Parti en contre-attaque, Federico Chiesa se défait du marquage espagnol avant de servir Domenico Berardi dans le dos de la défense ibérique. Le nouvel entrant tente sa chance dans un angle fermé mais Unai Simón ferme bien ses jambes et Aymeric Laporte repousse le danger (68e).

Mais alors que Federico Chiesa pensait quelques minutes plus tard signer un doublé et faire le break (79e), c’est la défense italienne qui va finir par se faire transpercer plein axe. Alvaro Morata initie la remontée du ballon avant de servir Dani Olmo qui lui rend en première intention. L’arrière-garde transalpine est aux abois. L’attaquant de la Juventus Turin, à peine entré en jeu, se retrouve alors seul face à Gianluigi Donnarumma et le crucifie d’un plat du pied parfait (80e, 1-1). La demi-finale est complètement relancée !

Dans les derniers instants, la Roja pousse pour prendre les devants, mais ne parvient pas à trouver la faille. Malgré trois minutes de temps additionnel, aucune des deux équipes ne parvient à faire la différence et M. Felix Brych siffle la fin du temps réglementaire. Les deux équipes se départageront donc en prolongation.

Pour sa troisième prolongation consécutive dans cet Euro 2020, la Roja donne le coup d’envoi de la première mi-temps. Les vingt-deux acteurs apparaissent usés physiquement, surtout les Italiens, et cela se fait ressentir dans le rythme depuis la reprise. Les Espagnols réussissent toutefois à se procurer une grosse occasion sur coup de pied arrêté. Malicieusement tiré par Dani Olmo – intenable –, le coup franc est cadré et manque de surprendre Gianluigi Donnarumma. Sur un second ballon, Alvaro Morata tente sa chance mais est bloqué par la défense, qui réussit à se dégager tant bien que mal (98e). En seconde période, le jeu devient haché. Les corps sont éreintés et les crampes s’enchaînent. Si l’Italie pense faire la différence grâce à un but signé Domenico Berardi, l’ailier de Sassuolo est logiquement signalé hors-jeu (111e) et le score demeure inchangé. Le sort des deux équipes se disputera aux tirs au but.

Pour la séance des tirs au but, Manuel Locatelli est le premier à se présenter face à Unai Simon. L’Italien tire à ras de terre, mais le portier espagnol s’interpose. Puis vient le tour de Dani Olmo qui tire complètement au-dessus du cadre. En puissance, Andrea Belotti transforme le premier pénalty, tandis que Gerard Moreno égalise. Leonardo Bonucci signe alors un contre-pied parfait, tout comme Thiago Alcantara. À son tour, Federico Bernardeschi ne tremble pas. Mais Alvaro Morata bute sur Gianluigi Donnarumma. Dernier tireur, Jorginho trompe facilement Unai Simón et propulse l’Italie en finale. La Squadra Azzurra exulte et affrontera dimanche le vainqueur de l’autre demi-finale entre l’Angleterre et le Danemark. C'est l'Angleterre qui remporte le match...

Interview Barzotti 26 juin 2021

Le 30/06/2021

Claude Barzotti parle de sa carrière et de la musique d'aujourd'hui

Moment de nostalgie avec Claude Barzotti

Claude Barzotti, qui se décrit lui-même comme un chanteur émotif, revient avec émotion sur sa carrière avec Jean-Sébastien Girard.

Il parle entre autres de ce qui l'a poussé à arrêter son métier et de ce qu'il pense de la musique aujourd'hui.

Le chanteur, né en Belgique, révèle également ce qu'il aimait particulièrement du public québécois.

Bonne fête à tous les papa

Le 20/06/2021

Je pense à mon papa Papa 2qui n'est plus là et aussi à celui de Claude Barzotti 

Antonio

Je viens souhaiter une bonne fête à tous les papa avec cette vidéo de 2018 faite en août lors de son concert à Bédoin...

 

ICI Paris N° 3953 du 7 au 13 avril 2021 "Claude Barzotti 1983 LE RITAL""

Le 09/06/2021

Ici paris 3953 du 7 au 13 avril 2021 p1mini Ici paris 3953 du 7 au 13 avril 2021 p51mini

Cette page a déjà été publiée en  avril 2017 dans le ICI Paris Hors Série en page 64  Iciparis hs1 

Les stars des années 80 "LE RITAL"

8.jpg

« Je suis rital, et je le reste,Et dans le verbe et dans le geste,

Vos saisons sont devenues miennes,

Mais ma musique est italienne,

Je suis rital dans mes colères,

Dans mes douceurs et mes prières,

J’ai la mémoire de mon espèce... »

Claude Barzotti, le latin lover par excellence

Claude BARZOTTI

Le Rital

ClaudeBARZOTTI est né en Belgique et pourtant le titre de son tube est devenu son surnom !

Claude Barzotti a tout de même passé sa petite enfance en Italie, sur la côte Adriatique, avant de revenir s’installer dans le plat pays. Avec son frère Alessandro, il suit des cours de musique au conservatoire près de chez lui parce qu’ils sont gratuits. La famille est modeste mais les parents veulent ce qu’il y a de mieux pour leurs garçons.

Quand les professeurs évoquent des cours particuliers payants pour exploiter le fort potentiel des deux frères, les rêves ont désormais une limite. Impossible de payer toutes ces leçons... Alors Alessandro se sacrifice : il annonce qu’il n’envisage pas de faire une carrière de chanteur et demande à ses parents de choisir Claude.

En réalité, Alessandro caresse aussi ce rêve et il a même une plus jolie voix mais il sait à quel point son petit frère serait déçu... Ce sera donc Claude le grand espoir de la famille. Ses parents se saignent aux quatre veines pour qu’il suive le meilleur des enseignements, sa mère retourne travailler à l’usine.

Toute sa vie, Claude sera reconnaissant de ses sacrifices et ne cessera de remercier aussi son frère bien sûr. Quand Madame, son premier single, se vend en 1981 à 400 000 exemplaires, c’est la récompense de toutes ces années d’efforts. Et puis évidemment deux ans plus tard, Le Rital et sa voix rauque inondent les ondes et se classent numéro un. Claude en vendra 1 300 000 exemplaires.

Quand il passe à L’Olympia en avril 1983, qu’il voit enfin son nom briller sur la façade du music-hall, c’est la récompense de tant de sacrifices. Je ne t’écrirai plus achève de le cataloguer dans ce que l’on appelle les chanteurs de charme.

S’en suit une traversée du désert qui connaît une lueur en 1990 avec Aime-moi. Ce ne sera que bien des années plus tard que son public adoré connaîtra en partie les raisons de son absence : Claude Barzotti livre un douloureux combat contre l’alcoolisme.

En 2012, le chanteur a révélé avoir suivi quinze cures de désintoxication pour se débarrasser de ce fléau. Pour ses deux filles et sa petite-fille, il a décidé de gagner la bataille et de vaincre son ennemi depuis presque quarante ans ! Une addiction qui a eu des conséquences sur sa carrière et sa famille mais s’il y a bien une chose indéfectible en dépit des épreuves, c’est l’amour absolu de ses fans qui l’ont toujours soutenu.

« Je suis rital, et je le reste, Et dans le verbe et dans le geste, Vos saisons sont devenues miennes, Mais ma musique est italienne, Je suis rital dans mes colères, Dans mes douceurs et mes prières, J’ai la mémoire de mon espèce... »

Matin bonheur Claude Barzotti album pour elles

Le 05/06/2021

Claude rentre du Canada et il est invité dans l'émission de matin bonheur le 11 février sur Antenne 2 pour présenter son nouvel album "POUR ELLES" avec son
clip "Mais où est la musique" (remerciement spécial à Y...)

Indiana Jones 5 Harrison Ford est arrivé en Angleterre pour le tournage

Le 02/06/2021

Il aura 79 ans le 13 juillet 2021 et il reprend son rôle d'aventurier pour un cinquième Opus d'Indiana Jones

Cinéma 

par OLIVIER SCHMIDT, le 1 juin 2021

 

L’indéboulonnable Harrison Ford vient tout juste de débarquer outre-Manche pour débuter le tournage du cinquième volet d’Indiana Jones.

Notre célèbre Indy vient tout juste de poser ses valises en Angleterre, avec, en ligne de mire, le tournage des premières séquences d’Indiana Jones 5. Mais pour l’heure, le comédien prend du bon temps. Entre une dégustation de whisky et quelques échanges avec les gérants d’une société horlogère, Ford semble au top de sa forme. Le comédien dévoile les coulisses de son arrivée via les réseaux sociaux, pour le plus grand bonheur de ses fans.

Dirigé par James Mangold, ce nouvel opus sera visiblement l’occasion de passer la main à un héritier émérite pour Jones

Ford conservera quoi qu’il en soit son fauteuil de producteur exécutif de la franchise.

Un cinquième opus attendu !

 

Le tournage ne débutera officiellement que la semaine prochaine, mais Ford prend le temps de s’installer sur les lieux. Déjà, les séances de travail s’enchaînent pour tenir un planning plus que serré. Mais cela n’empêche pas le comédien de profiter de quelques joies locales avant de ne plus avoir une minute à lui. Pour le moment, l’intrigue reste encore un mystère, malgré quelques informations distillées par la presse spécialisée.

Pour l’heure, on sait simplement que l’arc narratif aura un lien étroit avec la course à la conquête de l’espace, en plein cœur des années 60. Mads Mikkelsen sera le nouveau méchant, un dangereux nazi officiant pour la NASA. Ce dernier devrait bénéficier des services d’une assistante zélée, prête à tout pour en découdre avec Indy.

Malgré son âge, Ford ne semble toujours pas prêt à renoncer à son personnage devenu culte. Les équipes techniques devraient user de quelques artifices pour modifier l’apparence du comédien. La présence de Mangold devrait donner un joli souffle de modernité sur la saga. Reste à déterminer si d’autres suites sont encore prévues. Ce qui implique que le comédien devra passer la main une bonne fois pour toutes.

Il faudra se montrer patient pour découvrir le résultat final. Mais l’impatience se fait déjà sentir sur la toile pour l’arrivée de ce nouveau volet.

Par Julie Hay le 01 juin 2021 à 14h30

Indy 5

Ford, prêt pour un nouveau tournage ! – Crédit : Instagram / @bremontwatches

 

Ce cinquième opus, qui sera le dernier, devrait être diffusé sur nos écrans le 27 juillet 2022. Harrison Ford fera face à Mads Mikkelsen et Phoebe Waller Bridge.

C’est imminent. Harrison Ford va à nouveau enfiler son Fédora pour le cinquième opus des aventures d’Indiana Jones. L’acteur âgé de 78 ans campera pour la dernière fois le plus célèbre des aventuriers. Sur Instagram, l’entreprise Bremont Watches vient de partager un cliché de l’interprète d’Indy dans un magasin de Whisky outre-manche. Harisson Ford a donc déjà posé un pied sur les terres britanniques, preuve que le tournage est imminent.

Prévu pour juillet 2022, Indiana Jones 5 sera le premier de la saga à ne pas être réalisé par Steven Spielberg. En effet, en février 2020, on apprenait que la saga devrait se passer de son cinéaste historique à l’avenir. Préférant laisser la place à la nouvelle génération, il a confié la tâche à James Mangold. Celui à qui l’on doit Mans 66 et le troisième volet des aventures de Wolverine pourra néanmoins compter sur Spielberg à la production du film.

Une intrigue mystérieuse

 

Ce nouveau chapitre, qui devrait être le dernier, nous transportera dans les années 60 en pleine conquête spatiale. Indy va-t-il conquérir la Lune ? Rien n’est moins sûr. Pour l’instant, peu de détails sur l’intrigue ont été communiqués. On sait en revanche que l’acteur fera face à plusieurs étoiles montantes d’Hollywood comme Phoebe Waller-Bridge (Fleabag) ou encore Boyd Holbrook (Logan). Il devrait également côtoyer des comédiens plus chevronnés comme Mads Mikkelsen (Casino Royale).

John Williams à la musique

 

Bonne nouvelle pour les fans de la saga, on retrouvera John Williams à la musique originale. Le compositeur, célèbre pour son travail sur Star Wars, Jurassic Park et Harry Potter, devrait nous offrir une nouvelle partition en honneur aux précédents films.

Repoussé à plusieurs reprises, Indiana Jones 5 débarquera sur nos écrans le 27 juillet 2022. D’ici là, on peut compter sur Lucasfilm pour nous offrir plusieurs bande-annonces de ce retour providentiel de l’aventurier plus de 14 ans après sa dernière apparition dans Le Royaume du Crâne de Cristal. 

 

Indiana Jones 5 montre des images divulguées de son tournage

Indiana Jones 5 est désormais officiel et sa première aura lieu le 29 juillet 2022. Le film est sur le point de démarrer la production, donc le tournage commencera sous peu. L’utilisateur de Reddit, Switzerland-Forever, a publié les premières images de l’ensemble d’enregistrement, qui, comme d’habitude, ont été divulguées à l’avance.

La vérité est que les images n’ont toujours pas de contexte, nous ne savons donc pas exactement ce qu’elles représentent. Tout semble indiquer qu’il s’agit d’un château à moitié construitPeut-être des ruines antiques ou un château dans toute sa splendeur (lorsque l’équipe du film aura terminé le travail). Quoi qu’il en soit, ce que ces instantanés prouvent, c’est que la machine est en marche pour ramener Indiana Jones à la vie.

Le retour de Harrison Ford et John Williams

Après Indiana Jones 4: The Kingdom of the Skull, on a parlé à plusieurs reprises d’une éventuelle continuation, mais les années ont passé et cela n’a pas fini de se matérialiser. Cependant, il y a quelques mois, il a été confirmé que la cinquième tranche était en cours. Même si sans Steven Spielberg à la barre, le film récupérera Harrison Ford, l’interprète qui a joué le protagoniste dans tous les films précédents. John Williams, le compositeur légendaire des bandes sonores, reviendra également. Le casting sera également rejoint par Phoebe Waller-Bridge.

 

 

Virginie & Laurent Comtat PRO interview

Le 25/05/2021

Essentiel ?

 Laurent

Place ce soir à Laurent Comtat - PRO pour un délicieux moment musical sur notre scène !

Sa page Facebook

➡️ https://www.facebook.com/Laurent-Comtat-PRO-557222891064638

Crédit :

Production : Einside - Agence Evénementielle

➡️ www.einside.fr

Direction Artistique : Cap Events

➡️ www.capevents-organisation.fr

Présentation : Ange Philippe

Captation & montage video : PgP création vidéo

➡️ www.pgpcreationvideo.com

Graphisme : Bigbird Communication

➡️ www.bigbird-communication.com

Son, lumière, vidéo : E-Inside

#essentiel #essentielleculture #culture #artisteslocaux #emissionartiste #artistesavignon #cultureavignon #emissionculturelle #scene #laurentcomtat

Le musée du slip s’installe à Lessines

Le 25/05/2021

 

Le musée du slip s’installe à Lessines

Publié le 24/04/2021 

La capitale 24 avril 2021

S’il était encore vivant, René Magritte aurait probablement souri à l’idée que sa ville natale accueille un musée du slip. Et il a fallu un gars comme Lou Deprijck qui se décrit lui-même comme « un élève du Pop Art », un mouvement dérivé du surréalisme, pour que l’idée se concrétise.

L’auteur de « ça plane pour moi » a racheté il y a trois ans et demi les 101 slips de Jan Bucquoy, le cinéaste surréaliste, qui avait ouvert un musée à Bruxelles.

« Il m’a un jour appelé pour me dire qu’il n’avait plus de place », raconte Lou. « J’ai tout ramené dans ma camionnette ». Les slips bruxellois sont des réalisations originales où l’on voit, par exemple, les portraits du roi Albert, de la reine Paola ou encore de Bart De Wever, rouge à lèvres pétant et slip sur la tête, pas les leurs évidemment. Une œuvre frondeuse à l’image du réalisateur de « la Vie sexuelle des Belges ».

Depardieu, Reynders…

 

Lou Deprijck apporte sa touche personnelle avec des slips et des caleçons que lui ont donnés des personnalités artistiques mais aussi politiques. Il a ainsi le slip de Gérard Depardieu, de Claude Barzotti, de Brigitte Lahaie (avec une dédicace), etc. Mais aussi celui de Didier Reynders.

« Sophie Wilmès m’a promis le sien, mais un exemplaire dessiné », précise le chanteur. Jean-Luc Crucke et Georges-Louis Bouchez sont sur la liste. Cela fait beaucoup de slips bleus, mais Lou Deprijck est issue d’une vieille famille libérale. Il a été échevin et est toujours conseiller communal MR.

Mais il annonce son retrait de la vie politique locale car il estime que Lessines ne profite pas assez de la notoriété que pourrait lui apporter René Magritte. Il a d’ailleurs financé lui-même (32.000 euros) la statue du peintre qui trône sur la place de Lessines. « Je n’ai pas eu une aide de la Ville, rien », déplore-t-il.

Même chose, fait-il remarquer, pour son musée du slip qui prend place dans une ancienne bijouterie juste en face de l’hôtel de ville. Il sera ouvert tous les dimanches matins dès la fin du mois de mai. Lou l’enrichit de ses photos dédicacées comme celle de Sharon Stone, Anthony Perkins, etc.

Une pièce sera consacrée aux Bananas, ses ex-choristes et une autre à ses potes du Grand Cactus.