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 CLAUDE BARZOTTI   23 juillet 1953   -   24 juin 2023   

LES BONNES QUESTIONS DE LA SEMAINE INTERNATIONALE

Le 11/10/2017 0

Dans Claude Barzotti

  • MONDIAL 2018  // QUALIFS  // LES BONNES QUESTIONS...

PAR ALEXANDRE DOSKOV ET FLORIAN LEFÈVRE 

Entre le diplôme de Lewandowski, la tunique rose des Écossais, le DJ du Stade de France et l'appétit de Salah, beaucoup de larmes ont coulé lors de cette dernière semaine de qualifications pour la Coupe du monde. De joie comme de tristesse.

Les bonnes questions

La Bombonera, au coup d'envoi du match contre le Pérou

1. L'Amérique du Sud est-elle la zone la plus dangereuse du monde ?

Certes, l’avenir de la Syrie et le conflit nucléaire entre les États-Unis et la Corée du Nord inquiètent la communauté internationale. Mais les Nations unies ne doivent pas s’exonérer d’ouvrir le dossier sud-américain. Les experts en mousse prétendent que la zone CONMEBOL est la plus facile pour se qualifier au Mondial. Il est vrai que dix nations se disputent quatre tickets et demi vers la plus grande sauterie du football. Mais quelle bataille ! Sur le front, il y a cinq mastodontes qui ont passé la phase de poules lors de la Coupe du monde 2014 (Brésil, Chili, Colombie, Uruguay, Argentine). S’ajoutent aussi des vieux briscards rompus aux joutes internationales (Paraguay, Équateur) et un invité surprise prêt à tout faire péter (Pérou). Et quand ce ne sont pas les adversaires, c’est le terrain de guerre qui effraie : il faut s’équiper de masques à oxygène pour aller jouer à très haute altitude (La Paz, 3600 m ; Quito, 2850 m...). L'Amérique du Sud : il est là le plus gros bourbier du monde. FL
 


2. Sont-ils ritals et le restent-ils ?

 « Je suis rital, et je le reste, et dans le verbe, et dans le geste » , fredonnait le gigantesque Claude Barzotti à une époque où la bonne musique avait encore sa place. Et après avoir envoyé quelques références à « la Joconde » et à « Napoli » et fait rimer « amants de Vérone » avec « minestrone » , le beau brun livrait cette prophétie : « Et par nos brumes silencieuses / J'avais bien l'humeur voyageuse / Mais de raccourci en détour / J'ai toujours fait l'aller-retour. » De la brume épaisse quand elle a perdu 3-0 contre l'Espagne, des voyages en Israël et en Albanie, puis un raccourci direct vers un match de barrage aller-retour : l'équipe d'Italiea rendu un sacré bel hommage au chanteur. Attention, toutefois, dans un autre de ses tubes, Barzotti chante : « Souvent je pense à vous Madame / Souvent, je vous revois Madame / Ne me dites pas de m'en aller. » Et on espère que la « Madame » en question n'est pas la Coupe du monde 2018... AD
 

 


3. L'Écosse a-t-elle été punie par son maillot rose ?

 N'en déplaise à Gordon Strachan et ses explications douteuses, « la génétique » n'a rien à voir avec l'élimination de l'Écosse. La tactique ? La technique ? Le mental ? Peut-être, mais surtout, les Écossais l’ont bien cherché. Voici leur bilan avant le dernier match : cinq victoires, deux nuls, deux défaites. Le point commun des deux raclées 3-0 reçues en Slovaquie et en Angleterre ? Les Écossais portaient à chaque fois un maillot rose bonbon. A contrario, ils ont disputé tous les autres matchs avec leur maillot bleu marine traditionnel ; bilan : six matchs, zéro défaite. Sauf qu'ils ont eu la mauvaise idée de ressortir leur torchon rose lors de l’avant-dernier match face à la Slovaquie. Pour une fois, c’est passé de justesse à la 89e, mais on sait comment ça s’est terminé en Slovénie : les Pink ont encore foncé dans le mur. FL

 

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